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La Belle bleue, toujours digne de confiance…

Un avis recommandant de ne pas consommer les produits vendus par la boulangerie-pâtisserie La Belle Bleue, située sur la rue Jean-Talon Est, dans Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension a été émis il y a quelques jours. 

C’est  le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) en a avisé la population en début de soirée, dans une déclaration écrite, EN COLLABORATION AVEC la Division de l’inspection des aliments de la Ville de Montréal et LA BOULANGERIE ELLE-MÊME, QUI A PROCÉDÉ VOLONTAIREMENT AU RAPPEL DE SES PRODUITS. 

Une certaine presse a saisi l’occasion pour manifester son habituel acharnement contre tout ce qui est différent, y compris lorsqu’il s’agit de personnes ou d’entreprises dont les services sont d’utilité publique.

Le cas la Belle bleue n’a pas échappé à cette triste règle.  

Quelques heures après la diffusion de la nouvelle, L’AVERTISSEMENT  du MAPAQ A ÉTÉ LEVÉ. Ce qui est généralement le cas lorsque les autorités ont la preuve que les aliments visés sont retirés des tablettes et que la situation qui a justifié l’avertissement a été levée.  Signe que l’«infraction» n’avait rien de majeur. Les media qui avaient amplifié le fait reproché à la Belle bleue ont «oublié» de faire le nécessaire et de remettre les faits dans leur cours normal. Ils ont au passage «oublié» aussi de faire état d’une autre information de même nature, mettant en cause une filiale de Loblaws (voir texte ci-après). 

Ils ont également omis de mettre les faits en contexte et de signaler que, dans un souci parfaitement légitime de protéger la santé des consommateurs, Selon les services de l’inspection des aliments à Montréal, plus de 400 contraventions ont été constatées seulement entre janvier et septembre 2018, et que le cas la Belle bleue n’a donc rien d’isolé ou de particulier.

La Belle Bleue a néanmoins convenu avec la MAPAQ et la Ville de Montréal de diffuser la mise en garde au grand public, «par mesure de précaution», même si la nouvelle lui fait mauvaise presse.

Les autorités ont précisé que les produits qui ont fait l’objet de la mise en garde ont été offerts à la vente jusqu’au 6 novembre inclusivement, et ce, uniquement à l’établissement de la rue Jean-Talon

Les personnes pourraient avoir l’un de ces produits en leur possession sont donc avisées soit de le retourner à l’établissement où elles l’ont acheté ou encore de le jeter.

Signalons enfin qu’au moment où nous mettions sous presse, AUCUN CAS DE MALADIE ASSOCIÉE À LA CONSOMMATION DE CES ALIMENTS N’A ÉTÉ SIGNALÉ au MAPAQ.

Nous considérons donc, pour notre part, que La Belle bleue demeure digne de notre confiance.

Atlas.Mtl

 

Un cas qui n’a pas fait de bruit

Épicerie No Frills : Une souris vivante dans un sac de pain

La compagnie Loblaw a dû s’excuser après qu’une cliente de Hamilton, en Ontario, a découvert une souris vivante dans un sac de pain qu’elle voulait acheter.

Sur la photo partagée sur les réseaux sociaux, on peut voir la souris semblant emprisonnée dans le sac de pain tranché, le tout dans un panier d’épicerie de la chaîne No Frills, propriété de Loblaw.

«J’étais en train de discuter avec la caissière tout en déposant les produits à la caisse pour payer. J’allais attraper le sac de pain quand j’ai vu cette souris VIVANTE dans le pain», a raconté sur Facebook Michelle Hill.

«J’étais choquée et dégoûtée», a-t-elle confié, soulignant que les caissiers et d’autres travailleurs l’étaient aussi.

Loblaw s’est excusé auprès de la cliente et le fabricant de pain lui a envoyé une carte-cadeau.

La compagnie a déclaré que le magasin avait pris des mesures pour que l’incident ne se reproduise plus, notamment en inspectant chaque jour les produits de la boulangerie.

 

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