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Eric Gerets harcelé par les saoudiens

Ils ne désespèrent pas même si Gerets avait signifié qu’il était au Maroc pour un objectif avoué : se qualifier à la CAN et au Mondial brésilien 2014. Un challenge qui n’a rien à voir avec quelconque appétit mercantile pour un entraineur qui veut devenir sélectionneur national.

Le Hilal Saoudien lui avait dressé un pont d’or mais le belge a préféré l’aventure, pour le prestige. Gerets a tout connu en tant que joueur pro, à la sélection de Belgique quant il a été sélectionné 86 fois et disputé les phases finales de trois Coupe du Monde (1982, 1986 et 1990). Il ne lui manque qu’une qualification au mondial en tant qu’entraineur.

Le Hilal Saoudien raisonne dollars et cela devrait certainement gêner un homme qui n’est plus dans le besoin. La presse saoudienne a fait le lien entre le relâchement d’El Arabi et Harmach avant même délais imposés par la FIFA, pour pouvoir être à Marbella. Ils ont laissé leur club à un moment crucial avec des échéances d’importance dans le championnat saoudien Zine, et les quarts de finale de la Coupe du prince Héritier.

La presse locale a donc fait le lien et tiré les conclusions factices d’un marché en latence. Ils rapportent qu’Eric Gerets rejoindra le Hilal en cas de mauvais résultats à la CAN. Autant dire que cette presse n’est pas assez informée car Gerets est au Maroc jusqu’en 2014, nonobstant les résultats du parcours à la CAN. Gerets n’est pas le genre à sauter par dessus bord. Il l’a déclaré solennellement.

Atlassportinfo.info

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